« Optimiser la consommation d’énergie dès la phase de conception. »
Le chiffre :
L’empreinte environnementale varie pour la phase de fabrication d’un train entre 10% et 30%, et pour son usage entre 50% et 80%.
Constat :
Le rail est souvent la solution la plus vertueuse pour les déplacements urbains, péri-urbains ou de grande distance. Pour autant, des optimisations environnementales sont toujours possibles.
Alstom, acteur majeur de la mobilité verte, a intégré l’écoconception de façon systématique dans le développement de ses solutions. L’amélioration de la performance environnementale est dans l’ADN de l’entreprise depuis plus de 15 ans. L’analyse du cycle de vie est utilisée comme outil de détermination des Aspects Environnementaux Significatifs (AES). Sur cette base, des objectifs environnementaux sont ensuite établis et déployés dans les
programmes de R&D, avec par exemple :
• pour la phase de fabrication, l’utilisation de matières recyclées ou renouvelables, l’allègement des matières, et la substitution par des matériaux à plus faible impact,
• pour la phase d’usage, l’efficacité de la chaine de traction, l’optimisation du freinage, le pilotage automatique pour métro (éco-conduite).
La démarche concerne toutes les solutions ferroviaires d’Alstom couvertes par un programme R&D.
Planification :
La méthodologie est appliquée sur l’ensemble des solutions du portefeuille Alstom en cohérence avec le plan stratégique AiM (Alstom in Motion) 2020-2025.
Facteurs de réussite :
Le succès de la démarche d’écoconception passe par l’intégration systématique d’objectifs environnementaux sur les programmes R&D, leur application dans les processus de développement, l’implication du management et des parties prenantes (design, achats, qualité, offres et projets).
Cette fiche de bonne pratique est issue du livre blanc décarbonation FIF/SNCF que vous pouvez retrouver dans son intégralité ci-dessous :
Mélanie BORDIGNON
melanie.bordignon@alstomgroup.com
www.alstom.com/fr